Comme tous les ans, depuis qu’on a arrêté de fumer, on voyage ! Cette fois ci, nous allons à Madagascar cet hiver ! Super ! Et pour 3 semaines ! Viens maintenant la question de comment me protéger face au paludisme (appelé aussi malaria). On m’a vivement conseillé de prendre des médicaments en pharmacie… Mais étant plutôt pour les produits naturels, j’ai du mal à me faire a cette idée… J’ai eu connaissance qu’un kiné de la région de Toulon est devenu aveugle suite à un traitement du paludisme pris lors d’un voyage… pas très rassurant… (risques pour la rétine confirmés dans la bible des huiles essentielles de Danièle Festy, Pharmacien).
Comprendre le paludisme
Le palu est une maladie infectieuse. Il est véhiculé par les moustiques femelles d’un espèce bien particulière. On risque de l’attraper dans les zones humides, palu veut dire marais ou malaria veut dire mauvais air. On n’attrape pas forcément le palu même si on a été piqué. Mais si le moustique transporte le virus, que se passe t-il ?
* Cas n°1 : le moustique transporte le virus plasmodium vivax, on peut faire une belle fièvre avec quelques tremblements puis ça passe et la maladie peut rester muette. Rien de mortel !
* Cas n°2 : le moustique transporte le plasmodium falciparum, beaucoup plus violent ! Troubles neurologiques, pronostic vital en jeu, si le mal est traité rapidement, c’est bon.
Il existe 3 zones de paludisme dans le monde. Chaque zone possède son propre traitement. N’oublions pas que chaque année, le paludisme tue, surtout des enfants africains. Même si le ratio est faible face a ceux qui l’attrape et qui sont soignés… J’ai remarqué, après plusieurs recherches sur internet, que le paludisme tue surtout dans les pays africains ou la malnutrition est très élevée, donc, mon esprit critique me pousse à me demander, qui tue finalement ? Est ce la combinaison de ces 2 facteurs ? Certaines personnes l’attrapent sans être en malnutrition, mais est ce que ces personnes étaient sous traitements antipaludiques de prévention ?
À l’échelle mondiale : 660 000 décès en 2010 (je n’ai pas trouvé de chiffres plus récents…)
91 % de la mortalité était concentrée en Afrique.
86 % des décès concernaient des enfants de moins de 5 ans.
Selon les estimations, 80 % des décès dus au paludisme étaient concentrés 14 pays.
Voici des exemples de cartes du paludisme que l’on trouve sur internet. Ce qui m’interpelle, c’est que par exemple, il est écrit sur la carte de l’OMS qu’il n’y a pas de paludisme aux Seychelles, ni à La Réunion mais qu’il existe un risque à Madagascar qui est entre ?! Pas très logique… Et sur la 2eme carte, il est écrit en gros, le nom des médicaments à prendre, comme si c’était une publicité, une carte promotionnelle… Je me pose quand même la question de savoir qui fait les cartes du paludisme ? Est ce les laboratoire pharmaceutiques ? ou bien qui ? La famille malgache qui voit des touristes à longueur d’années (puisqu’ils ont des hôtels) m’ont dit n’avoir jamais vu de cas de paludisme en 5 ans.
Donner ici des conseils, c’est avancer en terrain miné. Les échanges peu aimables que l’on peut lire sur les forums Internet dédiés au sujet montrent à quel point les avis s’opposent. Même chez les adeptes du naturel, on doute car les autorités sanitaires, appuyées par les fabricants de vaccins et de biocides, jouent tellement sur la peur qu’on est vite enclin à les croire. Il existe pourtant des moyens naturels à l’efficacité éprouvée qui permettent d’éliminer la plupart des risques liés à ces voyages.
Les vaccins « recommandés »
Il faudrait, selon le guide du Routard et tous les autres, être inconscient pour partir sous les tropiques sans le moindre vaccin… Et si l’on écoute les conseils « avisés » du médecin de famille - qui s’y connaît en médecine tropicale comme moi en plomberie - on se fera immédiatement piquer contre la fièvre jaune, l’encéphalite (japonaise, à tiques…), la méningite, l’hépatite A, B, la fièvre typhoïde, la rage et bien sûr la grippe. C’est le tarif minimum pour tout voyageur régulier !
Ces conseils sont d’autant plus suivis que chacun pense qu’il sera refoulé à la frontière s’il n’est pas vacciné en bonne et due forme. Mais cela n’est vrai que pour le vaccin contre la fièvre jaune. A ce sujet dans de nombreux pays la vaccination n’est que « vivement recommandée » sans être obligatoire, mais dans les centres de vaccination pour (pigeons) voyageurs, la différence n’est JAMAIS expliquée. Si la vaccination est obligatoire, faites-la, mais si elle ne l’est pas, réfléchissez bien et ne vous laissez pas abuser. Rappelez vous que les laboratoires ne garantissent pas l’immunité, mais seulement l’éventualité de contracter les maladies d’une façon plus bégnine… Vous n’êtes donc pas protégés à 100%.
Pensez bien aux effets secondaires : certains ont vu, en Afrique, beaucoup de touristes, super-vaccinés, malades pendant tout leur séjour et qui commençaient à se rétablir au moment du retour. Il existe d’ailleurs une clause commune dans les contrats d’assurance des voyagistes qui prévoit un rapatriement sanitaire pour complications vaccinales.
Bien qu’il n’existe pas de vaccin contre le paludisme, on ne vous laisse pas davantage le choix pour vous prémunir de cette maladie. La chimioprophylaxie règne en maître avec ses remèdes répondant aux petits noms de Nivaquine, Paludrine, Savarine et en versions plus sévères Malarone ou Lariam… Mais ne vous méprenez pas car (ce qu’on ne vous dit jamais clairement) le traitement préventif habituel n’a pour but que de prévenir les crises mais ne vous empêchera pas de contracter le paludisme.
Le parasite (la méchante famille des Plasmodium) développe de plus en plus de résistance. Par contre, le voyageur, lui, résiste toujours aussi mal à cette chimioprophylaxie qui peut engendrer nombre d’effets indésirables et au mieux un inconfort intestinal là aussi de nature à contrarier ses vacances.
Prenons l’exemple du Lariam, antipaludique de plus en plus prescrit car théoriquement adapté aux zones où la résistance est la plus développée. C’est un poison dangereux qui provoque, tous les ans, des décès. Les médecins sont les premiers à reconnaître que les médicaments prescrits, comprimés à base de quinine inclus, ont des effets secondaires lourds !
Les moustiques résistent de plus en plus aux insecticides
Nous sommes d’accord : il est indispensable de se protéger des moustiques. Ce sont les agents de transmission les plus dangereux : c’est par eux que passent le paludisme, la dengue, le chikungunya.
Il existe des insecticides et des répulsifs, mais lors de la conférence panafricaine sur le paludisme qui s’est tenue dernièrement à Durban, les chercheurs ont fait un triste constat : la résistance aux pyréthrinoïdes est maintenant généralisée en Afrique. Or ces substances forment la base des insecticides utilisés, dont ceux que l’on pulvérise sur les moustiquaires.
Autant dire que vous ne gagnerez rien à employer les bombes aérosols Pyrel, les diffuseurs électriques Catch ou les spirales à brûler. Et tant mieux : les pyréthrinoïdes peuvent occasionner des réactions allergiques, des désordres cérébraux et de la locomotion en cas d’exposition prolongée et certains d’entre eux sont classés cancérogènes possibles par l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA) américaine.
Répulsifs : danger pour l’être humain
Pour pallier à l’inefficacité programmée de ces biocides, les consortiums chimiques ont développé des répulsifs. Les plus efficaces contiennent du DEET (N-N-Diethyl-3-methylbenzamide), considéré comme le « gold standard » des produits anti-moustiques. Une molécule qui s’attaque au système nerveux des insectes… vous pouvez alors le voir agonir en gigotant. Un spectacle faussement rassurant car la molécule atteint aussi votre propre système nerveux !
Une étude publiée en 2009 a montré que le DEET attaquait non seulement le fonctionnement neuronal des insectes mais aussi celui des mammifères en inhibant notamment une enzyme très importante dans les mécanismes cellulaires.
Règles de base contre le paludisme et la tourista
- Ne jamais boire d’eau locale
- Ne consommer aucune crudité ou de fruits non épluchés
- Dormir sous une moustiquaire
- Avoir un bon répulsif en spray
- Porter des vêtements longs a la tombée de la nuit
- S’enduire les bras de baume du tigre rouge (jamais le visage car ça chauffe)
Prévention du paludisme avec des Huiles essentielles
On n’a pas trouvé mieux que les huiles essentielles (HE) contre la turista, le paludisme, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya et ce que l’on ignore encore… Les propriétés antimicrobiennes de certaines huiles essentielles sont décrites depuis plus de 30 ans. En outre, dernier avantage, et pas le moindre, les huiles essentielles ne détruisent pas la flore intestinale et protègent des attaques bactériennes et virales.
L’aromathérapie est la meilleure solution en théorie… Mais en pratique, cela ne va pas de soi : mauvaises synergies, chémotypes douteux, qualité médiocre…
Tous les spécialistes connaissent les huiles essentielles antibactériennes, antivirales et antiparasitaires les plus puissantes. Voici le quarté gagnant :
- L’HE de cannelle
- L’HE d’origan
- L’HE de clou de girofle
- L’HE de basilic tropical
Prévention et Traitement de Danièle Festy, Pharmacien, contre les piqures de moustiques
Demandez à votre pharmacien de préparer :
- huile essentielle d’eucalyptus polybractea cryptonifera (eucalyptus à cryptone) : 2ml
- huile essentielle cymbopogon : 1 ml
- huile essentielle syzygium aromaticum (giroflier) : 1 ml
- Transcutol : Qsp 10 ml
- Prévention de la piqure : appliquer 2 gouttes de ce mélange 2 fois par jour sur le thorax, le dos ainsi que les zones exposées aux piqures et pendant toute la durée du séjour.
- Traitement de la piqure : procédez exactement de la meme manière, mais multipliez les doses par 3, c’est a dire 6 fois 2 gouttes par jour.
Conseils : pour qu’un répulsif fonctionne, il faut en appliquer partout ! Si on en met sur le nez, ça ne protègera pas la joue !
Prévention Tropic’ Aroma
Tropic’Aroma est une formule qui a été conçue il y a plusieurs années par un grand aromathérapeute, Luc Grossin, pour les nombreux expatriés et diplomates qu’il comptait parmi ses clients. Au vu des résultats observés, il l’a affinée au fil des années.
Outre les 4 huiles essentielles citées au dessus, cette formule contient de l’HE d’ajowan (protecteur bactérien et parasitaire sur la sphère digestive), de l’HE de saro (surnommée chez les Malgaches « l’huile qui fait fuir le mal », c’est un grand immunostimulant), ainsi que de l’HE de gingembre (antiseptique et tonique). On trouve aussi dans cette composition de l’HE de curcuma dont le rôle est de favoriser en soutien du gingembre l’élimination des toxines.
Ce complexe contient des HE puissantes donc agressives. Mais la présence d’HE digestives et d’huile végétale de périlla rend le remède supportable par l’organisme et évite les problèmes que l’on rencontre avec les médicaments prophylactiques classiques qui vous mettent les intestins en vrac et vont ainsi à l’inverse du bon sens en affaiblissant l’immunité (d’ailleurs si vous faites une crise de paludisme ou un accès de fièvre dans ces pays, en arrivant à l’hôpital on stoppera immédiatement votre traitement allopathique pour traiter vos intestins).
En prévention, il faut prendre 4 capsules par jour dès l’arrivée dans le pays sans qu’il soit nécessaire d’en prendre avant le départ. Au retour, il est conseillé de continuer le traitement à ce rythme sur 10 à 15 jours.
Pour bénéficier d’une protection totale, il existe également une formule du remède en version spray. Il s’agit d’un répulsif à base d’HE de citronnelle de Ceylan et d’eucalyptus citronné, de géranium bourbon, de palmarosa, de tea tree, de davana (armoise des marais) et de cabreuva.
Ce spray permet d’imprégner sa moustiquaire, de pulvériser les pièces de vie, les vêtements et de s’enduire les parties du corps exposées. C’est aussi un remède que l’on peut appliquer directement sur une piqûre ou sur des démangeaisons.
Prévention Parakito
Para’kito vend des bracelets dans lesquels on place des plaquettes Para’Kito™ qui diffusent un mélange de 7 huiles essentielles d’origine végétale, qui prévient naturellement les effets des piqûres de moustiques. Des amis l’ont testés et approuvés en Guadeloupe ou ce bracelet leur a évité d’être piqués.
Prévention Homéopathie paludisme
- CHININUM ARSENICOSUM 4 ou 5CH : 1 tube, prendre 3 granules le soir pendant le séjour > prévention pour la diarrhée du paludisme
- PODOPHYLLUM 4 ou 5CH, prendre 3 granules au lever pendant tout le séjour > prévention pour les diarrhées
- CUPRUM METALLICUM 5CH, 3 granules au lever pendant tout le séjour > prévention diarrhées très liquides
Symptômes du paludisme
- Le paludisme est une maladie caractérisée par des épisodes fébriles aigus.
- Les symptômes apparaissent au bout de sept jours ou plus (généralement 10 à 15 jours) après la piqûre de moustique infectante.
- Les premiers symptômes : forte fièvre, maux de tête, frissons et vomissements, Manque d’appétit sévère, détresse respiratoire
- S’il n’est pas traité dans les 24 heures, le paludisme à P. falciparum peut évoluer vers une affection sévère souvent mortelle.
Traitement curatif du paludisme si on l’attrape
- Traitement médicamenteux
- Si vous partez en Afrique centrale, dans un petit village ou il n’y a pas de pharmacie, le plus sage est d’avoir avec vous une boite de Malarone, Nivaquine ou l’antibiotique Doxycycline au cas ou (sur ordonnance) que vous aurez acheté en France avant de partir.
- Si on attrape le palu en ville (plus rare), ils sont habitués à ce genre de désagrément et savent mieux que nous quoi faire ! A Madagascar, ils utilisent du Paludar comme antipaludéen au cas ou vous ressentez les symptômes. On trouve des traitements dans les Homeopharma à Madagascar.
- Quelques remèdes naturels qui vous seront sans doute également utiles.
- Avoir une bonne provision d’argile verte (en vente dans toutes le boutiques bio). Ce minéral est l’un des médicaments les plus polyvalents au monde. Il peut résoudre bien des maux comme :
Les crampes intestinales, très fréquentes en voyage. Plongez 3 à 4 cuillères à soupe de poudre d’argile verte dans un verre d’eau, attendez 5 mn, mélangez et buvez. Si par malheur quelque dérangement persiste, administrez-vous une 2ème dose. Vous n’aurez pas besoin d’une 3ème car vous serez réellement désinfecté. Les particules infra-millimétriques cernent les germes et les saletés, les inactivent puis les évacuent par les voies naturelles.
Les petites coupures ou abrasions : agissez vite car c’est une porte d’entrée pour les agresseurs potentiels. Utilisez l’argile sous forme de pâte. En recouvrant et protégeant la plaie, cette pâte va également piéger toutes les scories et toxines puis favoriser la repousse des tissus et la cicatrisation.
Les brûlures et coups de soleil : l’argile est le seul remède au monde (avec certains miels) capable d’atténuer la douleur, de réparer la peau et de lui permettre de se reconstituer telle qu’elle était avant l’accident. Dans ces cas là, il faut faire des cataplasmes d’argile verte.
Nota : vous pouvez utiliser l’eau du robinet pour préparer de l’eau argileuse à boire. Mettre 1 cuillère à café d’argile dans une bouteille et ajouter 10 gouttes d’huile essentielle de citron. Laisser reposer une nuit et boire en laissant l’argile au fond. Vous obtenez une boisson très rafraîchissante et très sûre sur le plan prophylactique.
- Avoir une dizaine de sachets de chlorure de magnésium. Ce produit que vous trouverez en pharmacie résout également les infections, qu’elles soient bactériennes ou virales (on peut l’appliquer aussi sur les plaies, l’utiliser comme désinfectant...) et son apport est précieux dans les situations extrêmes, chikungunya, polio, méningites, et autres épidémies que vous pouvez être amenés à côtoyer.
Le sachet de 20 g se dissout dans 1 litre d’eau juste avant l’emploi, et la potion (infâme au goût) doit être consommée en totalité dans la journée. Les conséquences intestinales ne se feront pas attendre et vous serez contraint de rester proche des sanitaires mais c’est le prix à payer pour bénéficier de l’efficacité du remède en cas de crise ou d’accès fiévreux. Ce produit fatiguant le système rénal, il est à réserver de préférence aux cas graves, aux infections touchant le système nerveux en particulier (neuropalu), une indication pour laquelle il est vraiment irremplaçable.
- Prendre du Tropic’ Aroma. On ne peux évidemment garantir une efficacité à 100% avec ce produit mais quel médecin aurait l’impudence de garantir à 100% la chimioprophylaxie qu’il vous prescrit ? En revanche, vous avez là un produit universel aussi précieux devant la fièvre jaune, le paludisme, le chikungunya, la dengue que la filariose, les amibes, la turista ou que sais-je encore. En cas d’accès fiévreux ou de gastro-entérite aiguë, on prendra 8 capsules par jour.
Mon choix pour Madagascar (séjour de 3 semaines aux 4 coins de l’île)
Après tout ce que j’ai lu comme effets secondaires sur les anti-paludiques pharmaceutiques (attaque le foie et l’estomac, danger de maladie de la rétine, troubles cutanés ou digestifs, attention si l’on est en insuffisance rénale, hospitalisation d’urgence en cas de surdosage…). Après tout cela, mon choix s’orienterait vers la solution la plus facile Tropic Aroma à base d’huiles essentielles, mais vu le prix pour 7 semaines de traitement à deux (environs 135€), je ne vais pas choisir ce remède.
Finalement, nous allons opter pour un super répulsif à moustiques, de l’homéopathie, des tee-shirts manches longues et allons essayer de se faire le moins piquer possible ! Ensuite, je vais acheter de l’argile verte. Nous prendrons également des huiles essentielles : cannelle et citron (comme nous avions fait en Thaïlande), 1 goutte matin et soir dans 1 cuillère de miel. Je pense que le remède du mal se trouve dans le pays dans lequel on va donc si besoin, nous achèterons sur la place d’autres huiles essentielles telles que : HE de saro, de clou de girofle… Je précise que ma belle-sœur, qui a un hôtel dans le nord du pays, et donc habituée à voir des touristes, n’a jamais vu de cas de paludisme en 5 ans !
Au niveau vaccin : aucun vaccin ! Je suis contre le fait de me faire injecter des substances étrangères dans le corps !
Sources : newsletter Alternative Santé, la Bible des huiles essentielles de Danièle Festy, L’argile qui guérit de Raymond Dextreit, conseils d’amis et de la famille malguache




13 Commentaires
Ton site est génial. Grand merci pour ce partage d’information et ta générosité !
Merci pour ton gentil commentaire :-)
Ca fait toujours très plaisir à lire…
Est-ce que c’est vraiment efficace certaines solutions (c’est à dire testé)?
Cet article a l’air plus sérieux que les autres que j’a vus.
Je comprends pas pourquoi il est conseillé de traiter à la nivaquine alors que c’est considéré comme de moins en moins efficace… - résistances des Plasmodium - du coup ça m’attire des doutes cette contradiction.
Je préfère utiliser des produits chimiques et rester en vie si c’est nécessaire.
Maintenant si les remèdes naturels ont été testés par des gens qui sont allés dans les pays en question et que ça a fonctionné ça m’intéresse de tester.
Bonjour, oui j’ai testé ces solutions Madagascar durant 3 semaines. J’avais décidé de ne pas prendre d’antipalu en traitement car trop lourd pour le corps. En revanche, si j’avais ete malade, j’avais le traitement curatif avec moi. Je n’ai rien eu la bas hormis la turista que j’ai traité avec l’argile pendant 2 jours + un anti vomissement durant 1 jour car je n’en pouvais plus.
L’homeopathie a surement aider mon corps aussi. La soeur de mon ami qui a un hotel la bas, m’a dit qu’en plusieurs annees, elle n’a jamais vu un touriste avoir le palu, par contre la tourita, oui.
Dans ces pays ou nous ne sommes pas habitués, il faut avoir des medicaments au cas ou… Tout depend ensuite combien de temps vous restez la bas ? Si c’est par exemple 2 mois, l’antipalu sera tres difficile a supporter. Si c’est 1 semaine, vous pouvez tester mais un ami qui etait en meme temps que moi la bas, a eu de grosses douleurs au ventre…
J’espere que cela vous a aidé, n’hesitez pas si vous avez des questions ;-)
Bonjour,
Très bonne synthèse!
Je vais à Madagascar tous les ans,parfois avec des »nouveaux » conseillés par leur médecin généraliste et la plupart du temps les effets secondaires de la chimioprophylaxie anti palu leur gâche le séjour.
Pour moi les meilleures huiles essentielles protégeant de -pratiquement tout- là bas,càd infection intestinale,parasites,infections par microorganismes véhiculés par tiques,moustiques,rats…(c’est sublime Mada , paysages comme population, mais bien insalubre quand même) ce sont:
- he ravintsara
-he eucalyptus à cryptone(à acheter en France)
-he cannelle
-gélules phytosun arom de girofle
et contre les moustiques sur la peau: he géranium( hyper efficace aussi pour les maux de transports,homeopharma en fait de petites gélules à croquer ou a sucer);
Vous y retournez quand? :)
Merci pour ton commentaire et les precisions :-)
Je ne sais pas quand nous y retournerons, ce que je sais c’est que nous y retournerons peut être plus en humanitaire qu’en touriste. Nous avons remarqué que pour vivre vraiment a la malgache, le mieux serait d’aider et de se rendre utile :-)
A bientot
magnifique, merci
Merci pour ces informations précieuses !
Je compte voyager en Asie ( Russie, Mongolie, Inde, Chine, Philippines, Laos …) durant 8 à 10 mois avec mes deux enfants de 10 et 11 ans et je souhaite leurs éviter (à moi également) le plus possible tous les vaccins et traitements médicamenteux divers et variés.
Suis’je inconsciente ?
Peut être !!! (d’après ma mère oui) :)
Mais ce genre d’article m’invite à penser qu’il existe d’autres moyens de prévention aux risques encourus dans les pays dit : à risques.
Bonne continuation, j’ai toujours grand plaisir à vous lire !
Bonjour, êtes-vous partie voyager suite à votre message? Je pars d’ici quelques semaines jusqu’en asie (au moins jusqu’en chine puis je verrai!) en passant pas la russie et la mongolie et je suis passée par la série de vaccins et on m’a prescris une bonne quantité de médocs qu’il ne me tarde pas de prendre… qu’avez vous utilisé au niveau santé/prévention?
Les HE citées ici pour l’afrique sont-elles valables en asie?
Belle journée à tous!
Bonjour,
Je vais en novembre en Ethiopie /Sud avec tout un groupe ‘la caravane Amoureuse/M.Vella » . Tout le monde va se protéger du paludisme avec » des huiles essentielles » ; mais moi ……je fais des allergies aux huiles essentielles (oedème de Quick et urticaire géant)…..si si çà existe !!!
Alors comment me protéger déjà du paludisme (sans vaccin) et sans être obligée de prendre chaque jour des anti-histaminiques ? Avez-vous une solution naturelle ?? .Merci ( solution d’un homéopathe : prendre des huiles essentielles anti allergie …..????? la blague du siècle !!!
Bonjour Soizic,
En Ethiopie, je ne sais pas trop comment se passe le palu, dans tous les cas, je vous conseille vivement d’avoir des medicaments pour vous soigner si vous l’attrapez. Personnellement a Madagascar pendant 3 semaines, je n’ai rien eu… Mise a part la tourista… ;-)
Prenez peut etre des probiotiques un mois avant votre voyage, ca ne vous fera aucun mal et redonnera de bonnes bacteries a votre intestin :-)
Bonjour, article très intéressant!
Le tropic’Aroma semble vraiment idéal dans votre article, mais je ne trouve aucune infos sur les sites de vente du tropic’aroma indiquant que ce traitement protège du palu…??
Simplement contre les problèmes digestifs qui pourraient survenir.
Pourriez vous m’indiquez où vous avez trouvé cette info svp?
D’ailleurs quelqu’un sait si ce produit est trouvable ailleurs que sur internet?
Merci d’avance, et bonne continuation :)
Bonjour,
Je me permets de vous adresser ce message pour vous poser une question concernant l’argile verte.
En prévision de mon voyage en Afrique centrale, j’ai acheté, à la pharmacie, de l’argile verte surfine 100% naturelle, de la marque Laino. Selon la notice, elle sert pour des masques de beauté et pour des cataplasmes ou emplâtres. Néanmoins, ils conseillent de ne pas l’avaler. Alors quid en cas de diarhée ?
Merci pour votre commentaire.
Cordialement,
Annie